Avant de devenir un pionnier de la medecine alternative, le Dr Edward Bach (1886-1936) fut d’abord un praticien orthodoxe de la médecine.
Peu satisfait des procédure conventionnelles de diagnostic et de traitement des maladies - qu’il avait apprises à l’école de médecine et appliquées d’abord à l’hôpital, puis dans son cabinet de Harley Street -, le Dr Bach se tourna dans un premier temps vers l’homéopathie. Comme Samuel Hahnemann, le fondateur de cette approche thérapeutique, Edward Bach avait la conviction que « le patient est toujours l’artisan de sa propre guérison ».
L’homéopathie et son expérience personnelle enseignèrent beaucoup au Dr Bach, mais il voulut aller plus loin; il finit par se retirer et décida de concevoir sa propre méthode thérapeutique. Il s’attela à la tâche dans les années 1920 et s’y consacra jusqu’à sa mort en 1936, peu après qu’il eut mis la dernière main à son oeuvre majeure, Les Douze guérisseurs et autres remèdes. Il s’agit d’un ouvrage simple et accessible. Le Dr Bach tenait à ce que « sans la moindre connaissance en médecine », les élixirs « puissent être facilement accessibles et utilisables par n’importe quel foyer ».
Dans une conférence de 1936, il insista sur le fait que « ce n’est pas la maladie qui importe, mais le patient, la façon dont il est affecté, qui est notre véritable guide pendant le traitement ».
Les élixirs floraux s’utilisent par voie interne, en cure de 3 semaines en général ou plus ponctuellement si nécessaire.
J’aime proposer l’utilisation des quintessences florales lors des soins et massages (en incorporant quelques gouttes de l’élixir correspondant à l’état de la personne dans l’huile de massage ou la crème de soin), car celles-ci ajoutent à la relaxation physique une détente psycho-émotionnelle.
Très intéressant