Le Framboisier et la Femme

Les jeunes pousses de framboisier utilisées en gemmothérapie sont les alliées incontestées de la femme.

 

C’est la gemmothérapie très spécifique des règles douloureuses.
Le framboisier est très actif chez l’adolescente et les dysménorrhées auront une nette régression ou disparition par relaxation musculaire des cellules de l’utérus.

Le framboisier concerne donc les troubles des règles, de la puberté, des muqueuses et de la fonction ovarienne.

C’est surtout au moment de la ménopause que son action sera irremplaçable. Il favorise la sécrétion d’oestrogènes et de progestérone, stimulant ainsi les ovaires dans les périodes de pré-ménopause ou de ménopause précoce. Lorsque la ménopause est bien installée, le framboisier agit magnifiquement  sur les bouffées de chaleur en étant associé aux jeunes pousses d’airelle.

Attention ces remèdes oestogènes-like et progestérone-like ne seront pas utilisés chez des femmes ayant un antécédent de cancer hormono-dépendant ou de fibrome (et avec prudence chez les femmes sujettes aux kystes et mastoses).

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Alimentation moderne et oligoéléments

« Contrairement à ce qu’on pense communément, l’alimentation moderne « riche » représente un des principaux facteurs de risque pour la carence en oligoéléments. Le déclin de la qualité biologique et nutritionnelle des aliments est la conséquence d’une alimentation non naturelle et artificielle.

La culture avec des engrais chimiques et des produits anti-parasitaires, l’usage aveugle de désherbants et pesticides, les techniques d’extraction, concentration et raffinage des aliments, la stérilisation thermique et par irradiation gamma, cassent l’équilibre entre les divers composants alimentaires et entraînent un appauvrissement des facteurs vitaux : vitamines, oligoéléments, acides aminés, acides gras…

L’apport d’aliments conditionnés en boîte, sachets plastiques ou pots ainsi que l’utilisation d’additifs chimiques, de conservateurs, de colorants, d’aromatisants, de produits stérilisants, entraînent des phénomènes complexes de chélation par lesquels les oligoéléments, bien que présents dans l’organisme, perdent leur disponibilité. La conséquence est une inactivité partielle ou totale de l’activité enzymatique, qui entraîne un blocage métabolique spécifique avec possibilité de réactions croisées ou en chaîne.

L’oligothérapie catalytique vise la levée de tels blocages fonctionnels (…) »

Dr Bruno Brigo

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Les algues : trésors sous-marins

Au Japon, les algues marines sont consommées quotidiennement. Chez nous, il n’y a pas si longtemps, les algues étaient essentiellement réputées pour leurs effets bienfaisants dans le bain !

Les algues sont trés pauvres en calories, pourtant on les compte parmi les aliments les plus nutritifs au monde.
Leur richesse en sels minéraux (calcium, fer…), vitamines (A,C ou B selon les variétés) et oligo-éléments, est considérable. La présence de zinc, de cobalt, d’iode, joue un rôle important de complément alimentaire au sein d’une alimentation trop souvent appauvrie.

Il en existe toute une variété, qui diffèrent par leur forme, leur saveur et leurs teneurs en différents nutriments.
Wakamé : assez épaisse, se consomme généralement cuite. Recommandée dans les potages ou crue dans les salades (aprés trempage)
Kombu : délicieusement iodée. Dans les bouillons ou tout simplement en guise de légumes.
Dulse : probablement la plus douce et la plus délicate des algues ! Elle se consomme après un simple trempage de quelques minutes aussi bien dans les salades de crudités qu’en garniture, à la fois décorative et nutritive.
Arame : saveur discrète. S’utilise après cuisson dans des salades ou plats de légumes, céréales.
Nori : algue trés populaire au Japon où elle enveloppe les fameux sushis, les japonais en font aussi des boulettes qu’ils mâchent comme du chewing gum.
Agar-agar : gélifiant naturel, indispensable pour remplacer la gélatine traditionnelle souvent obtenue à partir de produits animaux. Se dilue trés facilement pour réaliser des préparations sucrées comme salées (gelées, confitures, aspics…).

Salade du pêcheur : un mélange d’algues en paillettes pour saupoudrer un peu partout, super facile à utiliser. A mon avis, c’est la meilleure façon de se familiariser avec les algues. En plus, c’est trés décoratif !

Une bonne habitude à prendre : un morceau d’algue Kombu dans l’eau accélère la cuisson des céréales et des légumineuses, tout en les rendant plus digestes.

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La levure de riz rouge

La levure de riz rouge, Monascus purpureus, contient des composants qui neutralisent l’enzyme nécessaire à la production de cholestérol au niveau du foie. Cet organe contient de grandes quantités de HMG-CoA reductase. La levure de riz rouge inhibe leur action tout en diminuant la synthèse de cholestérol (cholestérol endogène).

Riz rougeIl y a de nombreuses études qui confirment la capacité de la levure de riz rouge à diminuer de façon significative le taux de cholestérol. Cette substance contient également des acides gras insaturés qui aident à réduire le taux de triglycérides au niveau sanguin.

Il existe actuellement plusieurs produits à base de levure de riz rouge sur le marché français. Il est conseillé d’utiliser des produits à base de concentré sec afin d’obtenir une concentration idéale. La présence de CoQ10 est important pour les patients qui utilisent durant plus de deux mois de la levure de riz rouge car il évite les carences dues à la diminution de sa synthèse.

Plusieurs études ont prouvé que le stress représente un risque d’augmentation du cholestérol dans le sang ; la production de certaines hormones en situation de stress, telles que le cortisol, entraîne une oxydation du cholestérol et contribue à la formation de plaques au niveau des artères.

Pratiquer une activité physique, surveiller son alimentation et cultiver la sérénité par différentes pratiques telles que le yoga, le tai-chi, la méditation peuvent nous aider à diminuer notre niveau de stress et par conséquent à prévenir les problèmes cardiovasculaires.

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La gemmothérapie – thérapie par les bourgeons

La gemmothérapie fut découverte dans les années 60 par un médecin homéopathe belge, le Dr Pol Henri. En se basant sur les analyses sanguines, il donnait tel ou tel bourgeon pour normaliser le sang. Plus tard, le médecin français Max Tétau mit au point la façon clinique d’utiliser les bourgeons et les tissus embryonnaires en se basant sur les symptômes.

Le haut développement embryonnaire fait que les propriétés thérapeutiques des plantes ou arbres sont plus intenses.
De plus les jeunes cellules ont une action revitalisante car elles contiennent des hormones végétales.

La gemmothérapie est l’utilisation de tissus embryonnaires végétaux en croissance (bourgeons, radicelles, jeunes pousses, écorce interne de racines) préparés par macération dans un mélange eau alcool glycérine.

La gemmothérapie est une branche de la phytothérapie.

Je vous présenterai régulièrement des bourgeons ainsi que leurs propriétés. La gemmothérapie est selon moi une thérapie de choix, les résultats sont souvent rapides et j’ai constaté que les enfants et les personnes âgées y étaient particulièrement sensibles. Dans certaines pathologies, notamment cardiovasculaires, elle est remarquablement supérieure à toutes les thérapies végétales.

Je préfère les macérâts-mères (vendus en diététique) aux macérâts glycérinés D1 (vendus en pharmacie) qui nécessitent une posologie plus importante de par leur dilution et qui contiennent ainsi beaucoup plus de glycérine.

Deux marques à retenir :  GEMMOBASE (HERBALGEM) et EQUI NUTRI.

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